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RER D: C'est la fin

Ca y est enfin, ce matin il m'aura fallu 1h05 pour aller au boulot. C'est le temps normal. Il était temps.

Mais la ligne D est-elle guérie pour autant? Bien sûr que non. Dès que l'ombre d'une grêve pointe son nez, la ligne D du RER saute en premier. Des fois même la veille de la grêve on a déjà des problèmes.

Et les journaux de crier à la «discrimination» quand un employeur déclare préférer des employés qui ne dépendent pas du RER D. C'est quand-même la moindre des choses.

Entre un employé qualifié et un employé non-qualifié, un employeur prendra souvent l'employé qualifié. Y a-t'il pour autant discrimination des gens non-qualifiés? Certes oui. Faut-il la condamner? Pas sûr...

Les gens qui doivent prendre le RER D tous les jours pour arriver au travail sont à peu prés garantis d'arriver en retard entre 20 et 50 jours par an. C'est un fait. Pourquoi un employeur éventuel prendrait-il ce risque?